Je m'étais réveillée se matin pour sortir Quelmec juste pour le panser soigneusement ce matin sans travailler spécialement avec. Un peu de repos peut lui faire le plus grand bien après notre voyage jusque ici. Une fois doucher, habiller et après avoir déjeuner, je me dirige vers les écuries de ma nation pour aller chercher dans la sellerie, les affaires nécessaire, pour m'occuper de mon étalon qui venait de me voir passer.
Je reviens, un sourire au lèvres alors qu'il venait d'hennir en ma direction, il avait l'air détendue et content de me voir sans harnachement mais juste avec son licol et ces affaires de pansage.
J'arrive donc près de son box mais il recule, comme si il avait peur de moi, comme d'habitude même si il avait l'air heureux de me rencontrer deux secondes auparavant.
- Hola, tout doux mon grand, c'est moi, c'est moi ... Viens ...
Sans le brusquer, je lui tends la main après avoir poser mes affaires à côté du box et lui laisse le temps de se rapprocher. Quelmec, hésitant, finis, comme à son habitude, par se rapprocher doucement pour finir par humer mon odeur alors que je ne lui voulais aucun mal.
- C'est bien. On y va ?
Je repris doucement mon licol en cuir avec sa plaque gravé en italique "Quelmec du Gery" exactement. Je ne voulus pas qu'il reparte alors j'ouvre la porte dans un calme absolue pour le lui passer et le sortir. Je referme la porte de son boxe une fois qu'il fus sortit de celui-ci et l'attache à un anneau pour ne pas qu'il s'enfuit.
Je repris mes affaires de pansage et en sors une étrille en caoutchouc pour commencer à le brosser et le masser partout sauf sur ces parties osseuses. Une fois ces deux côtés fait, je débute le bouchon pour enlever toute la poussière que j'avais déjà décollée avec l'étrille. On pourrait dire que Quelmec appréciait cette détente. Il avait les yeux mi-clos et semblait me laisser faire sans ronchonner.
Énergique mais soignée, je continue avec ma brosse douce pour lui laisser le poil un peu plus brillant et finir 'enlever le reste de poussières.
Je lui demande ensuite chacun de ces pieds pour les curer et les graisser avec attention et soin. Sabots à neuf, il ressemble à un étalon prêt pour une grande compétition. Je finis par passer l'époussette pour que son poil soit comme qui dirait "presque parfait" et par le peigne pour bien démêler sa crinière et sa queue noire avec sa brosse à crins.
Après une bonne heure de soin, je dénoue le nœud de l'anneau où était enchaîner Quelmec et je le rentre dans le plus grand calme possible pour ne pas qu'il s'énerve. Il avait l'air comme détendu, zen et posé et surtout fier de sa beauté. Je lui enlève son licol de cuir marron et le laisse finalement tranquillement pour enfin refermer la porte du boxe et remettre mes affaires dans la sellerie et partir des écuries après lui avoir offert une gentille caresse sur le frontal.